Debout sur le Zinc célèbre plus de trente ans de scène, d’albums et de passion collective. Une trajectoire à part, une musique addictive qui se mêle aux souvenirs dès qu’on lui prête l’oreille.
Il y a des disques que l’on reconnait tout de suite et qui surprennent quand même. Mémoire Électrique en fait partie : onzième album studio du groupe. Onze comme un miroir : un rendez-vous avec soi-même, intime. Il reflète un parcours, fait résonner les promesses d’hier et plonge dans les sonorités d’aujourd’hui.
Pour beaucoup, Debout, c’est une madeleine, un jalon, une certitude de réconfort. Un écho familier qui aide à se sentir moins seul·e. Une magie singulière où se rencontrent la poésie des mots et l’audace des sons.
Ce millésime ne fait pas exception. Les textes de Simon Mimoun et Romain Sassigneux sont exaltés, ciselés ; les compositions portées par les 6 membres du groupe et leur trentaine d’instruments sont audacieuses et d’une variété rare. De la peau, des bois, des cordes, des voix : voilà les ingrédients de ce collectif singulier, toujours à l’écart des modes et au coeur du monde. Sans complaisance, ni posture.
Avec Mémoire Électrique, le groupe interroge la mémoire, le temps, et la quête d’un nouveau souffle dans le tumulte de l’époque. Un album profane et viscéral, ancré dans les préoccupations contemporaines : la recherche de soi et des autres, la transmission, l’espoir face à l’inconnu , l’amour.
Les Hurlements d’Léo « Sirocco »
L’album « Sirocco » marque le grand retour des Hurlements d’Léo, mais aussi celui d’Erwan « R1 Wallace » Naour dans les rangs du groupe bordelais. De nouveau bicéphale avec Laurent « Kebous » Bousquet, Les Hurlements d’Léo retrouvent un souffle nouveau et créatif proche de leurs débuts.
Pour ce nouvel album le souhait du duo est alors de retrouver la manière originelle de composer. Celle des débuts en 95 / 96 où « le premier part sur un couplet, l’autre propose une suite, etc. Idem sur la recherche mélodique. Quand on travaille notre interaction avec Erwan » précise Laurent, « on ne se pose pas la question de savoir à qui appartient l’idée originelle. Ce sont les stimuli de nos deux interactions qui permettent à l’autre de creuser encore plus loin son idée. Et ça je ne le vis pas avec beaucoup de personnes. On se connaît depuis l’âge de 10 ans. Ça fait donc 40 ans. J’ai passé plus de temps avec Erwan qu’avec mon frère. »
Mais il serait trop simple de résumer Les Hurlements d’Léo au seul duo. Ce sont bien neuf musiciens qui donnent une couleur et une saveur si particulières à la musique des HDL. Alors, ne résistons pas au plaisir de citer les compagnons de route.
Bien sûr, les Hurlements d’Léo défendront « Sirocco » sur scène. 26 pays. C’est leur maison. Des concerts qui marieront les intemporels du groupe, certains morceaux plus obscurs et bien sûr un gros focus sur le dernier album.
Oubliez tout ce que vous savez sur YOANNA ! Tout ce que vous savez d’elle est là, la douceur en plus.
Le sourire et les rires cachent toujours les peurs ; les combats ne sont pas prêts d’être finis, mais la tendresse domine. La sincérité à fleur de peau est toujours sa signature, mais l’épure des mots la rend puissante. La colère est belle quand elle est optimiste. Ce septième album est tout en accordéon et percussions, ce qui lui confère un groove inédit. Armée de son « accordéon armure », Yoanna nous entraîne dans une cachette secrète où le corps, le désir, la mort et la beauté dînent à la même table. Guidée par sa voix fragile et crâneuse à la fois, elle offre aux malheureux et aux impatients comme aux sourieurs et aux vainqueurs des chansons comme on n’en fait plus.
Tarif réduit** : 25 €*
Tarif prévente : 27 €*
Tarif guichet : 30 €
*+ frais de loc.
** demandeurs d’emploi, bénéficiaires du RSA, – 18 ans sur présentation d’un justificatif
